Soumise à son Maitre Pierre

Hier soir, j'étais tellement excitée après l'ouverture de notre blog que je ne tenais pas en place. Installés confortablement dans le canapé, devant la télé, je n'avais qu'une envie: faire l'amour. Pierre ne l'entendait pas de cette oreille, il avait envie de se reposer. Alors que je le regardais comme un petite chienne pleine d'envie, j'ai reçu mon premier avertissement "concentre toi et regarde devant toi!". J'ai reçu mon deuxième avertissement lorsque j'ai tenté de lui caresser le bras : j'ai dû m'éloigner de lui sur le canapé. Je n'arrivais pas à me concentrer, je ne pensais qu'à sa bite. J'ai voulu caresser sa cuisse mais la punition est tombée juste avant.

Il m'a regardée droit dans les yeux, avec ce regard que j'ose rarement défier, puis m'a ordonné de m'assoir par terre, à ses pieds. C'était si humiliant ... J'ai ravalé ma salive, je me suis assise par terre. C'était dur pour mes petites fesses habituées au confort moelleux du canapé. J'ai pu monnayer un coussin contre mon pull. J’étais en débardeur, je sentais mes tétons pointer à cause de la fraicheur de la pièce qui m’envahissait. Les minutes passaient, je tentais de m’intéresser à ce qui se déroulait sur le petit écran, mais j’étais toujours autant excitée.

 Pierre s’est à nouveau énervé lorsqu’il a remarqué que je bougeais les jambes ; en effet, le dos contre le canapé, les talons à la hauteur des fesses, bouger les genoux ne faisait qu’augmenter mon excitation. Il m’a commandé d’enlever mon jean, rapidement, puis de rester immobile et silencieuse. Me voila, à moitié nue sur le tapis du salon, muette et immobile à la merci de Pierre. J’avais froid et chaud à la fois. Combien  de temps allais-je rester ainsi ?

Le calme était revenu dans la pièce depuis plusieurs minutes lorsqu’il me demande d’enlever mon débardeur. Je n’ai pas envie de recevoir la fessée ce soir, alors je m’exécute rapidement. Je n’ose plus le regarder, je suis en soutif et culotte rouge, j’espère que ça lui plait.

Il m’humilie un peu plus en me faisant remarquer que je suis presque nue, à ses pieds sur le tapis du salon alors qu’un étranger peut m’apercevoir en passant devant la baie vitrée. Il m’exige d’aller fermer les rideaux « et à quatre pattes ! ». J’en profite pour jouer à la tigresse, je retrouve confiance en moi, et le défie du regard tout en balançant les fesses en marchant vers la fenêtre. Je sens que mon quart d’heure est arrivé.

Il m’oblige à garder cette position de chienne, le dos bien cambré, face à la télévision, il positionne un cousin sur mon fessier relevé puis y installe confortablement ses pieds. Me voilà réduite à la simple fonction de table basse. Docile je ne me plains pas et continue même de regarder la télé. Après quelques minutes, je sens mes muscles se raidir, ma nuque me fait mal, je préfère baisser la tête. Une émotion de honte m’envahit alors. Je me sens bien dans cette position de petite chienne soumise, privée de canapé, privée de confort, pour le plaisir de son maître. Pierre fait exprès de bouger ses pieds, mets le droit sur le gauche puis le gauche sur le droit pour juger ma docilité. Je ne résiste pas longtemps, et très vite je vacille, trop vite à son goût.

Me voilà à quatre pattes mais cette fois, la tête entre ses cuisses le nez contre la fermeture éclair. Je sens son sexe durcir. Il me caresse le dos en guise de récompense pour l’effort que je viens de fournir. Il me dégrafe le soutien-gorge, et tâte l’humidité sous la culotte. J’essaye d’apprécier la caresse mais je sais qu’une fois disparue, commenceront les hostilités. Je commence à gémir, gémir de peur, de honte de ne pas être plus docile. Il m’enfonce son sexe dans la bouche puis m’ordonne de le sucer. Je m’applique pendant plusieurs minutes alors qu’il continue de regarder la télé. Je dois mettre les mains sur la tête, mes seins frottent contre bord du canapé. Je ne vais pas assez vite, il me prend alors les cheveux avec une main et me baise la bouche. Je finis la tête contre le tapis, le cul relevé, prise comme une chienne, par derrière pour le plus grand plaisir de M. Pierre.

Nous avons finis la soirée devant la télé, enlacés et sur le canapé ;)