Je m'imagine bien avec ces clochettes avec l'ordre de rester bien droite assise en indien à tes côtés, attention si je faillis une gifle me remettrait dans le droit chemin ;)
Encore une fois, j'ai trouvé le moyen de mettre mon maitre en colère. Je me suis vite retrouvée le cul à l'air sur le lit, fessée en train de compter les coups (très humiliant, surtout quand il me demande de répéter, et de parler plus fort). Il m'a doigtée, m'a giflée avec sa queue, et a joué avec mes tétons. Alors qu'il se leva pour aller chercher un préservatif, je me rebella et le défiais du regard. Sans un mot, il pris la carafe d'eau posée sur la table du salon, s'approcha, se mis sur moi, me bloquant les bras le long du corps et me présentant sa queue devant ma bouche. Il prit la carafe d'eau, la leva assez haut au dessus de ma tête et versa l'eau sur mon visage. Je me débattais, j'avais de l'eau dans les cheveux, dans les yeux dans les narines mais cela ne l'a pas empéché de me pincer le nez, ce qui me fit ouvrir la bouche, il enfourna sa bite au fond de ma gorge et me baisa la bouche tout en m'empéchant de respirer. Emotions garanties.... je n'existais plus, enfin si, je sentais seulement le va et vient incessant de sa queue dans ma bouche et j'entendais "tiens, prends ça petite pute". J'étais sur une autre planète, celle où je n'existe qu'en tant qu'objet de plaisir. Mes pieds virevoltaient, mais peu importe j'étais coincée, une bite dans la bouche qui ne cessait de me baiser.
Maître, chers lecteurs,
Je vous propose de participer à mon éducation : une éducation sexuelle n'est pas viable si l'éducation globale de la soumise n'est pas parfaite. J'ai horreur des fautes d'orthographes lorsque je lis des blog, des articles etc... J'ai la critique facile, cependant moi même je fais des erreurs et des fautes d'orthographes. Ce que je vous propose et de relever toutes ces fautes dans mes textes et selon le nombre ou l'importance de ces erreurs, vous me proposerez une punition. Maître, c'est vous qui trancherez. Qu'en pensez-vous ?
A vous lire
Alors que je n'avais pas respectée mon maître, celui-ci décida de me baiser violemment pour me faire comprendre qui commendait dans le couple... Après m'avoir doigtée par tous les trous couchée sur le dos il me demanda de relever les pieds d'écarter les jambes plier les genoux et de tenir mes chevilles, afin de lui exposer mon intimité. Il m'a dit qu'il me prendrait ainsi offerte, mais avant cela il m'a dit qu'il voulait en faire profiter les voisins. J'étais nue les jambes écartée avec interdiction de bouger sous peine d'etre méchamment fessée, et c'est là qu'il décidait d'ouvrir la porte devant moi qui donne directement sur le palier. Je l'ai supplié de ne pas le faire mais c'était sans compter sur sa perversité et son malin plaisir à me voir ainsi. Il ouvrit la porte quelques minutes, je me retins de respirer et de gémir de peur qu'on m'entende. Je me suis sentie objet de plaisir, un objet qu'on a acquis et qu'on est fier de montrer à ses connaissances. Je crois que personne n'est passé dans ces quelques minutes mais cependant je me suis sentie si rabaissée que je n'eus plus l'audace de contredire mon maitre. Je me suis laissée baiser la chatte les jambes écartées tenant jusqu'au bout de l'étreinte mes chevilles. J'aime être ainsi baisée et humiliée, j'avais mérité une bonne leçon. C'est après coup que nous nous sommes rendus compte que la fenêtre qui donne sur la cour intérieure était restée ouverte.... s'ils ne m'ont pas vue c'est sur qu'il m'ont entendue gémir et crier de plaisir.... Pardon chers voisins !
Tout d'abord je tiens à remercier mon chéri, mon homme, mon tout pour ce qu'il m'a fait vivre ce weekend à Paris.
Le weekend a commencé dans les toilettes. Et oui je revenais de la gare avec une envie pressante. Pas de soucis m'a t'il fait comprendre. Il m'a coincée dans les toilettes, me regardant gigoter comme une petite fille lui demandant de sortir. Il n'en était pas question, il est resté devant moi prenant plaisir à m'entendre le supplier de s'en aller. J'ai vite compris que j'allais devoir pisser devant lui... J'étais tétanisée, il m'a retournée, m'a déboutonné mon pantalon, l'a baissé avec ma culotte violemment et m'a ordonné de m'assoir sur la cuvette. Je me suis assise, à la fois heureuse de pouvoir bientôt me soulager de cette envie pressante et crispée de le faire devant lui. Il a été patient, je n'arrivais pas à me lacher, ma chatte bouillait en meme temps d'excitation et était totalement tendue ce qui m'empéchait de pisser. Il trouva le temps long, alors il a commencé à déboutonner son jean, et a sorti sa queue pour me l'enfourner dans la bouche. J'étais assise sur les toilettes, le cul à l'air avec la bite de mon homme en bouche. Je salivais, ça m'excitait encore plus, du coup impossible d'uriner. Il m'a encouragée (merci ;) ) et au bout de quelques secondes (interminables dans cette position où tout va si vite d'habitude) j'ai laché quelques gouttes d'urine. Petit à petit je libérais des flots que je contenais depuis mon départ. Quel soulagement, c'était un fantasme que je cachais en moi, pisser devant mon maître sous son contrôle. A la dernière goutte de pisse, il est parti dans la piece adjacente et m'a demandé de me dépécher. Je me suis vite rhabillée et suis allée le rejoindre. Un jour peut etre qu'il me demandera de pisser comme une chienne, à l'orée d'un bois, marcher à quatre pattes vers un arbre, le renifler puis lever la jambe droite ou gauche pour pisser sur cette arbre, entendre et sentir mon urine chaude dégouliner dans la nature. Revenir vers mon maitre et continuer innocemment la balade, telle est ma condition une vie de chienne à ses dépens.
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