Soumise à son Maitre Pierre

Tout d'abord je tiens à remercier mon chéri, mon homme, mon tout pour ce qu'il m'a fait vivre ce weekend à Paris.

Le weekend a commencé dans les toilettes. Et oui je revenais de la gare avec une envie pressante. Pas de soucis m'a t'il fait comprendre. Il m'a coincée dans les toilettes, me regardant gigoter comme une petite fille lui demandant de sortir. Il n'en était pas question, il est resté devant moi prenant plaisir à m'entendre le supplier de s'en aller. J'ai vite  compris que j'allais devoir pisser devant lui... J'étais tétanisée, il m'a retournée, m'a déboutonné mon pantalon, l'a baissé avec ma culotte violemment et m'a ordonné de m'assoir sur la cuvette. Je me suis assise, à la fois heureuse de pouvoir bientôt me soulager de cette envie pressante et crispée de le faire devant lui. Il a été patient, je n'arrivais pas à me lacher, ma chatte bouillait en meme temps d'excitation et était totalement tendue ce qui m'empéchait de pisser. Il trouva le temps long, alors il a commencé à déboutonner son jean, et a sorti sa queue pour me l'enfourner dans la bouche. J'étais assise sur les toilettes, le cul à l'air avec la bite de mon homme en bouche. Je salivais, ça m'excitait encore plus, du coup impossible d'uriner. Il m'a encouragée (merci ;) ) et au bout de quelques secondes (interminables dans cette position où tout va si vite d'habitude) j'ai laché quelques gouttes d'urine. Petit à petit je libérais des flots que je contenais depuis mon départ. Quel soulagement, c'était un fantasme que je cachais en moi, pisser devant mon maître sous son contrôle. A la dernière goutte de pisse, il est parti dans la piece adjacente et m'a demandé de me dépécher. Je me suis vite rhabillée et suis allée le rejoindre. Un jour peut etre qu'il me demandera de pisser comme une chienne, à l'orée d'un bois, marcher à quatre pattes vers un arbre, le renifler puis lever la jambe droite ou gauche pour pisser sur cette arbre, entendre et sentir mon urine chaude dégouliner dans la nature. Revenir vers mon maitre et continuer innocemment la balade, telle est ma condition une vie de chienne à ses dépens.